Le virus de la citation...
Vous allez vous dire que je radote et vous n'aurez peut-être pas tort mais en surfant à droite et à gauche - suite à la lecture par M. Poulpy de quelques "bons mots" excellents - j'ai découvert ces quelques petites phrases qui m'ont "parlé" à différents niveaux, les unes pour leur humour, leur cynisme, leur vérité ou leur profondeur... :
"Etre dans le vent : une ambition de feuille morte" (Gustave Thibon)
"L'éducation peut tout : elle fait danser les ours" (Leibnitz)
"Il ne faut pas mettre du vinaigre dans ses écrits, il faut y mettre du sel" (Montesquieu)
"Il n'est de grand amour qu'à l'ombre d'un grand rêve" (Edmond Rostand)
"Un optimiste, c'est quelqu'un qui plante deux glands et qui s'achète un hamac" (J. de Lattre de Tassigny)
"L'impossible est le seul adversaire digne de l'homme" (Andrée Chedid)
"L'avantage d'être intelligent c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile alors que le contraire est totalement impossible" (Woody Allen)
"On ne peut poser les pieds sur le sol tant qu'on a pas touché le ciel" (Paul Auster)
Et spéciale dédicace à toutes celles (mamans ou non) qui sont à la maison (par choix ou non), ont parfois l'impression de ne faire toute la journée que ces petites choses répétitives et "sans importance", à qui on le fait remarquer ou pour lesquelles on ne les aime que davantage et qui se demandent quand même parfois où cela les mène :
"Se donner du mal pour les petites choses,
c'est parvenir aux grandes avec le temps"
(Samuel Beckett)